Les vrais noms des Académyciens

Vous n’en dormiez plus la nuit ? Votre ignorance vous accablait ? Heureusement, Critic@ est là pour vous aider à briller en toutes circonstances. Car s’il est des choses importantes dans la vie, c’est bien de connaître le vrai nom de nos petites têtes blondes ou colorées qui nous cassent les oreilles depuis des années, sous la surveillance active d’Alexia et autres Raphie. Au prix du péril de notre vie, et après 40 mois d’une enquête de tous les instants, nous sommes en mesure de vous dévoiler l’identité exacte des chérubins. Accrochez vos ceintures, c’est parti !

Commençons par la dernière édition, car celle-là, on l’a encore un peu en tête, mais pas pour longtemps. Le vainqueur, Quentin, s’appelle en fait Quentin Mosimann. Son outsider, Mathieu, Mathieu Edouard. Quant aux autres, cela donne : Sevan Malakian (et non Verneuil comme son papa de cinéaste) pour Sevan, Yaëlle Smaïl pour Yaëlle, Pierre Suppa pour le rital, Noémie Lovati pour Noémie, Maureen Angot (comme l’écrivain nulle copine de Doc Gynéco) pour Maureen la lâcheuse, Lucie Azard pour Lucie, Jérémy Chapron pour Jérémy, Eva Léonard pour Eva, Dojima Ounei pour Dojima, Claudia Atkinson pour Claudia, Claire-Marie Bron pour la gardienne de chèvres, Bertrand Agot pour le black crooner, Antoine Lefebvre pour Antoine, Alexia Melotto pour Alexia, et Alexandra Cohen pour Alexandra.

Pour 2006, on va avoir pitié de vous, et ne relever que ceux qui nous reviennent en mémoire, à commencer par le chouchou critiquesque Gaël Garcia, suivi par le gagnant Cyril Cinelu, Cynthia (Niang), Bastien (Jacquemart), Delphine Mazière pour Elfy, Isabelle Mollard pour Eloïsha (elle a bien fait de changer), Ahouefa Ruffino pour Fafa, et Marina, née Venache. En 2005, on se souvient de Jérémy (Amelin), de la gagnante Magalie, qui ne se nomme pas Vaé, mais Bonneau, et de Maud (Maud Stéphanie Verdeyen-Cannova). Quant au rocker bigleux Pascal, il ne se nomme pas Mono, mais Maunoury, comme l’ancien ministre de l’Industrie.

En 2004, Harlem s’appelait en fait Fabien Parmentier, patate, Jonathan Benamou était John, Virginie Joal était Lennie Marshall, et le désagréable Mathieu Johann se nomme dans la vie vraie Mathieu Lepresle. Vous en voulez encore, insatiables que vous êtes ? Alors, passons à la saison 3 : la gagnante Elodie Frégé se prénomme Elodie Wanda, son Edouard d’alors Edouard Algayon, son Michal : Michal Gabriel Kwiatkowski (on comprend qu’il ait raccourci), Morganne Matis était en fait Anne Tilloy, le Basque de Sarre Patxi Garat et Valérie : Valérie Deniz de Boccard, comme quoi y’a pas que les gueux à faire le spectacle.

Et si on remonte vers la préhistoire, la saison 2, remportée par Nolween, de son vrai nom Le Magueresse Leroy, a conservé quatre noms : Emma Daumas, née Manuelle, Jérémy Daniel Chatelain, le compagnon d’Alizée, Anne-Laure Sibon, dans le registre homo, et Eva, née Chemouni. Pourquoi évoquer la saison 1, vu qu’on était à peine nés ? La gagnante fut la future star Jenifer, née Jenifer Yaël Dadouche Bartoli, face à Mario (Barravecchia), sous les yeux de son flirt d’alors, l’insupportable Jean-Pascal (Lacoste) et surtout d’une petite à la bouche en canard qui allait faire parler d’elle. Une certaine Olivia Ruiz. Qui ne s’appelle d’ailleurs pas Ruiz, mais Blanc. Voilà, vous êtes désormais incollables. Merci de tout apprendre par cœur, y’a interro écrite demain.
(critica)